Données géographiques
Le relief dans le territoire administratif est extremement dénivelé, spécifique pour la zone montagneuse, avec des cols sur les itineraries des deux rivières Jiu( le Jiu de l’est et le Jiu de l’ouest). Les massifs de montagne qui délimitent la depression sont : Vâlcan au sud, Retezat au nord, Parâng à l’est et Godeanu à l’ouest, la plus grande altitude de la zone étant le pic Parângul Mare à 2.519 mètres. Tout au long du Jiu de l’est s’est formé une prairie et une terasse , la dernière ayant une surface lisse et étant un peu fragmentée. Parce qu’elle occupe le niveau intermédiaire entre les piedmonts et la prairie , elle a été mise en valeur par les cultures agricoles et au lond d’elle par les principaux moyens de communication.
À travers Petrosani passe le Jiu de l’est et ses quatre affluents: : Maleia, Staicului, Slatinioara și Salatruc. A cause des pluies abondantes sur la surface de la ville Petrosani on trouve beaucoup d’eaux sousterraines et des sources.
Le municipe qui se trouve entre les montagnes Parâng, Retezat, Godeanu et Vâlcan accumule les caracteristiques d’un basin géologique bien define, d’un basin hidrographique et d’une depression morphologique et géographique en general.
Après la forme et la position qu’il occupe dans l’ensemble du relief , le municipe Petrosani s’inscrit dans ce géant couloir longitudinal qui divise les Carpathes Moyens. Celui-ci c’est un couloir de dépression avec des fortes accentuations régionales qui est lié non seulement à la tardive modélation des Carpathes Moyens , mais de leur structure même et de la finalisation tectonique de cette unité en différentes étapes géologiques.
La première conturation du basin où se trouve le municipe Petrosani date de la phase orogénique mézocrétacique du charriage charpatique, mais seulement quelques millons d’années plus tard , dans l’oligocène, s’est produite la soumerssion et l’invasion de la mer , par laquelle commence le cycle de sédimentation dans ce basin.
Les plus anciens dépôts avec lesquels est commencé le remplissement du basin sont formés de conglomérats avec du ciment argileux rouge. Les fragments de cristals de roche et leur disposition dans une stratification en torents constitue un indice de valeur pour l’aspect général de la région dans cette époque là. Les montagnes d’autour formaient dans la mer oligocène un vrai archipel soumis à une érosion active. Les eaux courts et rapides en sillonant les îles de l’archipel ont transporté des alluvions grossières qui mises au fond de la mer sont devenus des conglomérats sortis au jour par l’érosion sur les côtés de sud et de l’ouest du basin. Le passage de l’oligocène au miocène a signifié non seulement un apaisement de l’intensité de la sédimentation et du changement de la nature des formations ( une alternance de marnes et d’argiles) mais aussi le début d’une phase de sédimentation d’une grande importance pour cette région.